Dire qu’Israël commet un génocide n’est pas antisémite, c’est lire une décision de justice internationale.
Dire que le gouvernement de Netanyahou viole le droit international humanitaire est également lire une décision de justice !
Le droit est dit et Israël vient de se faire violemment rappeler à l’ordre par la justice internationale.
Dire cela est permis mais ça ne le sera peut être bientôt plus si on considère qu’une proposition de loi voulait ( voudrait ?) peu ou prou, sous couvert d’interdiction de provocation à la haine d’Israël, interdire toute critique de ce noble État et de son si vertueux gouvernement .
En somme, il sera peut être désormais interdit de dire que selon le droit international dit par la juridiction habilitée à le faire, Israël a violé le droit humanitaire et a tué des innocents par milliers , les affamant et les privant de toute aide humanitaire.
Notre ministre des affaires étrangères disait que dire qu’Israël commet un génocide est un seuil moral qu’on ne peut franchir
Désormais, c’est rappeler l’état du Droit et ce n’est plus un droit mais une obligation !
Nous avons l’obligation de dire que ce que vit le peuple de Gaza est inédit en violence et en intensité et qu’Israël est par son gouvernement un État voyou !
Et nous avons l’obligation de poursuivre sans relâche tous ceux qui veulent minimiser l’horreur ainsi vécue à Gaza et de commencer à réfléchir à déposer des plaintes contre les soldats Franco-israéliens partis faire le djihâd avec l’armée la plus morale du monde, qui se rendent complices d’une violation grave du droit humanitaire !
Pour ma part, je ne les lâcherai pas !
Ma robe m’y oblige, mon humanité le commande.
Ce soir j’ai une pensée pour les otages retenus encore par le Hamas et leurs familles et que chaque frappé aveugle d’Israël éloigne un peu plus de la libération.
J’ai une pensée pour les palestiniens retenus dans les prisons israéliennes en violation du droit : rien n’excuse ni ne justifie la violation des droits humains
J’ai une pensée pour tous les habitants de la bande de Gaza qui vivent ce qu’aucun peuple ne devrait jamais subir surtout d’un État qui se revendique de la foi dans le Dieu unique, de miséricorde et de justice
Enfin, une pensée pour nos frères musulmans et nos frères juifs qui sont les victimes de terribles amalgames : les uns sont assimilés au Hamas les autres au gouvernement israélien de Netanyahou alors que nombre d’entre eux sont animés d’un profond désir de paix C’est cette paix que le chrétien recherche et poursuit, ne faisant audience différence entre les hommes et aucune hiérarchie dans la souffrance...
Dire cela est permis mais ça ne le sera peut être bientôt plus si on considère qu’une proposition de loi voulait ( voudrait ?) peu ou prou, sous couvert d’interdiction de provocation à la haine d’Israël, interdire toute critique de ce noble État et de son si vertueux gouvernement .
En somme, il sera peut être désormais interdit de dire que selon le droit international dit par la juridiction habilitée à le faire, Israël a violé le droit humanitaire et a tué des innocents par milliers , les affamant et les privant de toute aide humanitaire.
Notre ministre des affaires étrangères disait que dire qu’Israël commet un génocide est un seuil moral qu’on ne peut franchir
Désormais, c’est rappeler l’état du Droit et ce n’est plus un droit mais une obligation !
Nous avons l’obligation de dire que ce que vit le peuple de Gaza est inédit en violence et en intensité et qu’Israël est par son gouvernement un État voyou !
Et nous avons l’obligation de poursuivre sans relâche tous ceux qui veulent minimiser l’horreur ainsi vécue à Gaza et de commencer à réfléchir à déposer des plaintes contre les soldats Franco-israéliens partis faire le djihâd avec l’armée la plus morale du monde, qui se rendent complices d’une violation grave du droit humanitaire !
Pour ma part, je ne les lâcherai pas !
Ma robe m’y oblige, mon humanité le commande.
Ce soir j’ai une pensée pour les otages retenus encore par le Hamas et leurs familles et que chaque frappé aveugle d’Israël éloigne un peu plus de la libération.
J’ai une pensée pour les palestiniens retenus dans les prisons israéliennes en violation du droit : rien n’excuse ni ne justifie la violation des droits humains
J’ai une pensée pour tous les habitants de la bande de Gaza qui vivent ce qu’aucun peuple ne devrait jamais subir surtout d’un État qui se revendique de la foi dans le Dieu unique, de miséricorde et de justice
Enfin, une pensée pour nos frères musulmans et nos frères juifs qui sont les victimes de terribles amalgames : les uns sont assimilés au Hamas les autres au gouvernement israélien de Netanyahou alors que nombre d’entre eux sont animés d’un profond désir de paix C’est cette paix que le chrétien recherche et poursuit, ne faisant audience différence entre les hommes et aucune hiérarchie dans la souffrance...
Maître Fabrice Di Vizio